Avec les annonces du président français, « nous sommes en guerre » la solution est dans sa déclaration.
Être en guerre c’est avoir des ennemis, hors nos ennemis sont et seront les virus pour les décennies à venir.
Inutile de ventiler en se rebellant contre des mesures qui s’avèrent être des précautions d’usage au vu de la situation.
Gardons notre énergie et regroupons nos forces pour exiger que la santé ne soit plus un produit marchandisable et rentable mais une force pour nous soutenir dans ce conflit contre le premier et non le dernier virus mondial.
Nous sommes en guerre contre un Virus, voilà la réalité concrète de la situation.
Alors me direz-vous, c’est une guerre de non sens. Je vous l’accorde cette guerre n’à aucun sens, de par les précautions de confinement qui ne règlent pas le problème et qui met à mal l’équilibre social déjà mal en point. Le confinement, c’est comme dire à la population face à des canons, « tous aux abris, en attendant qu’ils n’y aient plus de munitions ». Ridicule stratégie qui est de l’ordre de l’aberration.
En tant de guerre sur les champs de bataille c’est des armes qui font face aux canons. Sinon on se retrouve comme en 14-18 avec la guerre des tranchées. Cette guerre a duré des années épuisant les soldats et se transformant en guerre des nerfs.
Face à un virus et à d’autres, s'ils se présentent, ce sont des structures sanitaires qui seront les armes adéquates. Des hôpitaux, du matériel médical, du personnel reconnu et bien traité avec des conditions de travail optimales qui puissent nous aider à combattre l’ennemi.
Il est donc impératif de se munir de structures pouvant faire face à ce genre d’ennemis avec lesquelles le vingt et unième siècle aura à se battre.
Mettre les budgets de l’armée, qui elle n’a plus aucune raison d’être, sur une force médicale, qui elle sera une force, est un choix judicieux pour à l’avenir combattre les ennemis du futur « les virus ».
M.B
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